Front de l' Est
Promenons-nous dans les bois...
En mars 1944, la Wehrmacht a perdu l’initiative face à une Armée rouge qui monte irrémédiablement en puissance.
Pourtant, si l’état-major soviétique est de plus en plus sûr de son fait, il n’en reste pas moins prudent quant au potentiel
militaire allemand. Les retours de fortune ont été si fréquents par le passé que la moindre offensive d’envergure
est désormais planifi ée avec soin. Les responsables du front ukrainien décident de procéder à une reconnaissance
pour tester le « mordant » adverse dans le secteur de Ternopol. Mais qui envoyer dans ce qui s’apparente alors à une
mission-suicide ?
Des Tiger dans les Djebels !
Le Tiger est assurément le char le plus
emblématique de l’arsenal du III. Reich.
Plus globalement, il fait partie des engins de
guerre qui sont entrés dans la légende, tant ils
ont marqué de l’empreinte de leurs chenilles
l’histoire de la guerre mécanisée et celle de la
Seconde Guerre mondiale ... Ce texte vous
donnera une idée fi dèle de la réalité des
combats de ces mastodontes de 56 tonnes,
de leurs qualités, de leurs défauts et, aussi,
des diffi cultés liées à leur déploiement en
Afrique du Nord.
Le Tank Destroyer
« Un tueur de chars ou un...char tueur ?»
Les Tank Destroyers américains sont une bizarrerie de la Seconde Guerre mondiale à laquelle ils ne survivront d’ailleurs
pas ! En effet, contrairement aux Allemands, qui équipent rapidement leurs chars de canons résolument antichars, aux
Britanniques ou encore aux Soviétiques, sauf pour leur JS-2, les Américains décident de confi er la lutte antichar à une
Arme dédiée, les Tank Destroyers (TD). En outre, si les autres belligérants optent pour des automoteurs dotés d’une
simple casemate pour pouvoir accueillir un canon puissant, les Américains choisissent la voie d’une tourelle mais sans
toit. Pourquoi et comment les unités de Tank Destroyers américaines sont-elles apparues ?
Bodo Spranz
As méconnu de la sturmartillerie
Après avoir posé le cadre de l’extraordinaire parcours militaire de Bodo Spranz, où périodes d’instruction en
Allemagne et combats en Union Soviétique vont se succéder à un rythme d’enfer de 1941 à 1945, Thomas
Anderson revient dans le détail sur le « grand coup » de notre homme, le 15 septembre 1943, à Jelnja. Outre de
superbes photographies issues de la collection privée de Bodo Spranz, cet article nous permet aussi d’évoquer
l’histoire de la Sturmartillerie, sous la forme de documents d’archive fort instructifs quant aux qualités de cette
Arme qui, il est vrai, se fera souvent voler la vedette par les Panzertruppen.
Dans l'enfer de la Roer
La «Hell on Wheels »
face à la 9. Panzer-division
Dans les premiers jours du mois de novembre 1944, les troupes américaines de la 9th Army reçoivent l’ordre de
se porter vers la rivière Roer, de la franchir puis d’exploiter en direction de la grande ville de Cologne, capitale de la
Rhénanie-Westphalie. Au-delà de l’aspect symbolique induit par une conquête de cette ampleur, ce que « Ike » et
son état-major ont derrière la tête consiste à franchir le Rhin pour ensuite s’enfoncer au coeur du Reich. C’est dans
ce contexte que la 2nd Armored Division du General Ernest Harmon, surnommée la « Hells on Wheels » (« l’enfer sur
roues »), va se frotter aux Kampfgruppen de la 9. Panzer-Division du Generalleutnant Harald Freiherr von Elverfeldt.
Renseignements : Caraktère SARL
Résidence Maunier - 3 120, route d'Avignon - 13 090 Aix-en-Provence - France
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